Avec Aouni Kawas, Darina Al Joundi, Rabih Mroueh, Carol Abboud, Hamza Nasrallah
Montage : Gladys Joujou, Vincent Commaret
Musique : Asmahan, Gavin Bryars, Monteverdi, John Cale, Joy Division, Brian Eno/David Byrne, Oum Kalsoum
Scénariste : Ghassan Salhab
Son : Patrick Allex
Technique : Prise de vue réelle
Images : Jérôme Peyrebrune
Evénement : Travelling 2020, Travelling 2020
Le Liban, à la fin des années 80. Khalil, ressurgit, après 10 ans d'absence, dans la vie de ceux qui l'ont connu. Son retour à Beyrouth sème l'émoi, le doute et la colère chez sa famille, ses amis et ses compagnons de lutte. Beyrouth fantôme est un film en quête de quelque chose d'essentiel. Un sens à la vie, à la guerre, un sens à la mort, à l'identité que G. Salhab a l'intelligence de raconter avec humanité.
L'émotion arrive ici par l'esthétique du film, par l'extrême cohérence entre son propos et son écriture cinématographique. Ghassan Salhab filme l'intangible, le marécage confus, blessé et parfois nauséabond d'une guerre longue, interminable, qu'aucun Libanais n'estime alors réellement achevée. Et par-delà Beyrouth, il nous emmène, sans porter de jugement moralisateur, dans le paysage mental de l'homme, avec ses zones en reconstruction.Le Liban, à la fin des années 80. Khalil, ressurgit, après 10 ans d'absence, dans la vie de ceux qui l'ont connu. Son retour à Beyrouth sème l'émoi, le doute et la colère chez sa famille, ses amis et ses compagnons de lutte. Beyrouth fantôme est un film en quête de quelque chose d'essentiel. Un sens à la vie, à la guerre, un sens à la mort, à l'identité que G. Salhab a l'intelligence de raconter avec humanité.
Critique : "Loin de toute tentation d'oubli, le superbe Beyrouth Fantôme préfère raviver les plaies de la guerre du Liban. Son réalisateur (...) y invente des solutions formelles stimulantes, associant fiction et témoignages."
Les Inrockuptibles
"La réussite de ce film tient à la manière dont il prend acte de la spécificité de ce conflit fratricide, en faisant de la partition un motif à la fois constitutif et destructeur du film."
Le Monde
"Loin de toute tentation d'oubli, le superbe Beyrouth Fantôme préfère raviver les plaies de la guerre du Liban. Son réalisateur (...) y invente des solutions formelles stimulantes, associant fiction et témoignages."
Les Inrockuptibles
"La réussite de ce film tient à la manière dont il prend acte de la spécificité de ce conflit fratricide, en faisant de la partition un motif à la fois constitutif et destructeur du film."
Le Monde
"Loin de toute tentation d'oubli, le superbe Beyrouth Fantôme préfère raviver les plaies de la guerre du Liban. Son réalisateur (...) y invente des solutions formelles stimulantes, associant fiction et témoignages."
Les Inrockuptibles
"La réussite de ce film tient à la manière dont il prend acte de la spécificité de ce conflit fratricide, en faisant de la partition un motif à la fois constitutif et destructeur du film."
Le Monde
"Loin de toute tentation d'oubli, le superbe Beyrouth Fantôme préfère raviver les plaies de la guerre du Liban. Son réalisateur (...) y invente des solutions formelles stimulantes, associant fiction et témoignages."
Les Inrockuptibles
"La réussite de ce film tient à la manière dont il prend acte de la spécificité de ce conflit fratricide, en faisant de la partition un motif à la fois constitutif et destructeur du film."
Le Monde