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          • Qui vive

          • De Marianne Tardieu

          • Type : Long métrage
          • France / 2014 / 1:23 / Couleur / VF
          • Avec Reda Kateb, Adèle Exarchopoulos, Rashid Debbouze
          • Scénariste : Marianne Tardieu, Nadine Lamari
          • Technique : Prise de vue réelle
          • à partir de 14 ans - 4e / 3e & Lycée
          • Evénement : Travelling 2015, Travelling 2015
          • Retourné vivre chez ses parents, Chérif, la trentaine, peine à décrocher le concours d’infirmier. En attendant, il travaille comme vigile. Il réussit malgré tout les écrits de son concours et rencontre une fille qui lui plaît, Jenny… Mais au centre commercial où il travaille, il perd pied face à une bande d'adolescents désoeuvrés qui le harcèlent. Pour se débarrasser d'eux, il accepte de rencarder un pote sur les livraisons du magasin. En l'espace d'une nuit, la vie de Chérif bascule...
          • Critique : Qui Vive surprend, interpelle, déconcerte… Il nous emmène sur des chemins inattendus, vers l’inconnu qui renouvelle le regard, époussette les clichés. En s’attachant aux pas de Chérif, la trentaine, vigile dans le centre commercial proche de sa cité, Marianne Tardieu prend le risque du film de banlieue avec ses codes, l’inévitable conflit de loyauté et d’appartenance, le désir d’échapper à ce territoire balisé. Mais dès qu’on entend Chérif expliquer qu’il s’obstine à passer le concours d’infirmier, on sait qu’on est ailleurs, dans un espace trouble. Un espace inédit qui permet le décalage, le décentrement. Un espace dans lequel les personnages prennent corps avec leurs singularités, leurs désirs, leurs aspirations. C’est ainsi que Chérif, incarné par un Reda Kateb en état de grâce, opaque et dense, toujours présent, attachant de délicatesse et de retenue, n’est jamais là où on l’attend. Reda Kateb capte notre empathie aussi bien dans l’action et la bagarre que dans l’émotion gaie de la rencontre avec la lumineuse Jenny, Adèle Exarchopoulos, pétillante. Rien de convenu donc dans le travail avec les acteurs, rien d’attendu dans la mise en scène sobre, épurée, élégante. La cinéaste fabrique avec précision un espace dans lequel chacun occupe une place originale, singulière et peut déployer avec énergie l’urgence de vivre et de se créer un avenir. Marion Lary, cinéaste (lacid.org)
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