Base de données des films

Avec Peter Mullan, Brenda Blethyn, Billy Boyd

Frank vient de perdre son emploi. Lui qui était respecté par tout son entourage se retrouve brutalement sans repère. Au cours d'une conversation avec un ami, le défi lui est lancé de traverser la Manche à la nage... Avec en toile de fond la fermeture des chantiers navals de Glasgow, du cinéma populaire au sens noble du terme, lucide et vivifiant.

Avec Cécile Mazan, Stéphane Boucher, Guilaine Londez, Jean-Noël Brouté

Un jeune médecin frais émoulu se voit confier sa première nuit de garde au service des urgences déserté pour cause de réveillon. Un peu fébrile en début de soirée, il commence à s'inquiéter franchement quand les malades et même le personnel, pourtant réduit, disjonctent ... Diffusé dans le cadre du Programme Court : Nuit de fête, nuit de galère

Avec Magda Vásáryová, Jirí Schmitzer, Jaromír Hanzlík, Rudolf Hrusínský, Petr Cepek, Oldrich Vlach, Frantisek Rehák, Miloslav Stibich, Alois Liskutín...

Au début des années vingt, Francin dirige la brasserie d‘un village et tente de la développer. La chevelure de Maryška, sa femme, cascade de boucles blondes, fait l’orgueil des villageois. Elle adore la bière, la bonne nourriture et être entourée d’hommes, ce qui agace fortement son mari… Pourtant, ils s’aiment profondément et il supporte - tant bien que mal - son exubérance et sa libre sensualité. Mais Pépin, le frère de Francin, débarque et bouleverse tout ce petit monde… Nouvelle adaptation par Jiří Menzel d’un roman de Bohumil Hrabal (La Chevelure sacrifiée, 1974), le film est une des œuvres majeures du cinéaste. Une Blonde émoustillante invite le spectateur dans un univers rabelaisien où se côtoient des personnages hauts en couleurs. Maryška ose faire ce que les autres ne font que rêver et avec Pépin se livre à mille plaisanteries. Le film est rempli de scènes à la fois délicieusement érotiques et franchement comiques. Une ode aux plaisirs de la vie qui incite le spectateur à la déguster sans modération. (Malavida)

Sélection officielle Mostra de Venise 1981

Avec Grazyna Szapolowska, Olaf Lubaszenko, Stefania Iwinska

Un jeune postier espionne, de la fenêtre de sa chambre, une voisine de l'immeuble d'en face. Il vole même une lunette pour la voir de plus près, surtout lorsqu'elle reçoit ses amants. A force de stratagèmes, il arrive à entrer en contact avec elle et lui avoue son amour...

Huit films, des années 1960 à aujourd'hui, pour rencontrer et traverser 50 ans d'expérimentations cinématographiques en Autriche. Tantôt ludiques, tantôt politiques, toujours critiques, ces courts métrages interrogent le rapport des cinéastes à leur culture : celle de l'Autriche bien sûr, mais aussi celle, mondialisée, des représentations hollywoodiennes. L'amour des images se mêle ici à l'observation lucide du pouvoir qu'elles exercent sur nos manières de faire, de sentir et de penser. Random de Marc Adrian (1963, 5', DCP) Passage à l'acte de Martin Arnold (1993, 12', 16mm)Intermezzo – Notes on film 4 de Norbert Pfaffenbichler (2012, 2', DCP)Fast Film de Virgil Widrich (2003, 14’, 35mm)Raumzeithund de Nikolaus Eckhard (2010, 6’, 35mm)Die ArbeiterInnen verlassen die Fabrik de Katharina Gruzei (2012, 11', 35mm)Twelve Tales Told de Johann Lurf (2014, 4', 35mm)Vintage Print de Siegfried A. Fruhauf (2015, 13’, DCP)

Avec Åsmund Høeg, Sven Nordin, Sonja Richter

1978, Nikolas vit une existence idyllique avec ses parents hippies, Magnus et Lone. Lone meurt dans un accident de voiture, Magnus fait une grave dépression. Nikolaj ne sait pas vers qui se tourner quand son meilleur ami lui fait découvrir “Never Mind the Bollocks” des Sex Pistols, que son père va écouter aussi…
Un film déjanté, jamais moralisateur, qui confronte la théorie du bonheur à la pratique du deuil.

Avec Hwang Jung-min, Moon So-ri, Yoon Yeo-jeong, Kim In-moo, Bong Tae-gyu, Baek Jeong-rim

Mariée à un avocat de renom infidèle, Hojung est une femme au foyer délaissée et malheureuse. Elle rompt sa torpeur en cédant aux charmes de son voisin, un adolescent timide. Im Sang-soo construit une réflexion habile et sensible sur le désir féminin. Un portrait captivant et cru qui aborde en creux la place de la femme dans la société coréenne. Lotus d’or du Meilleur Film - Deauville 2004Pyeongchang-dong

Avec Irina Björklund, James Thierrée, Minna Haapkylä, Marthe Vassal

Bretagne, 1883. Trois jeunes peintres finlandaises marchent dans un chemin creux, leurs chevalets sous le bras. Parmi elles, Helena, 20 ans, lassée de ne peindre que des falaises et des clochers, voudrait entrer dans les maisons.

Avec Daniela Vega, Francisco Reyes, Luis Gnecco

Marina et Orlando, de vingt ans son aîné, s’aiment loin des regards et se projettent vers l’avenir.

Lorsqu’il meurt soudainement, Marina subit l’hostilité des proches d’Orlando : une « sainte famille » qui rejette tout ce qu’elle représente.

Marina va se battre, avec la même énergie que celle dépensée depuis toujours pour devenir la femme qu’elle est : une femme forte, courageuse, digne…

Une femme fantastique !

Ce film résonne comme une critique sociale acerbe, émouvante et poétique, où Sebastián Lelio est, comme à son habitude, en phase avec les enjeux du monde actuel.


Ours d'argent du meilleur scénario, Berlinale 2017
Grand prix du jury, Festival du film de Cabourg 2017

Avec Park Am, Kim Jeong-rim, Yang Mi-hee, Kim Dong-won

Madame Oh, épouse d’un éminent professeur, accepte un travail dans une boutique de luxe, rompant ainsi avec son rôle de femme au foyer. Elle se laisse peu à peu porter par une sensation de liberté et découvre l’alcool, les dancings, la séduction et le désir… Mélodrame magnifique sur l’émancipation d’une femme prise dans le carcan traditionnel d’une société en pleine mutation. Jongno-gu

Avec Éléonore Saintagnan, Ann Stouvenel, Grégoire Motte, Edgar Motte-Saintagnan, Yang Chao

L'île d'Ouessant est la plus à l'ouest, tout au bout de la pointe de la Bretagne. La dernière terre avant l'Amérique...
Autrefois, les hommes y travaillaient tous en mer, pour la pêche ou dans la marine, et de ce fait l'île était peuplée presque uniquement de femmes.
En immersion sur cette terre, la réalisatrice plonge dans les archives, et dans un flottement entre rêve et réalité, s'identifie à Barba, une fille de Ouessant, dont le père a disparu en mer sans laisser de traces. Comment alors faire son deuil ?
Entre film de vacances, documentaire anthropologique et fiction, le film prend la forme d'un conte ethnographique.

Avec John Gordon Sinclair, Dee Hepburn, Jake D'Arcy

Dans la banlieue de Glasgow, Gregory, adolescent timide et un peu paresseux, est obsédé par le foot et les filles qu’il n’ose aborder. Jusqu’au jour où il rencontre Dorothy, jeune fille sûre d’elle et attirante, dont il tombe amoureux. Il lui fixe un rendez-vous, mais y viendra-t-elle ? Une fable futée et pleine d’humour, qui connut un immense succès public. Un film et un cinéaste qui marquent les premiers pas du cinéma écossais, décrivant des réalités sociales urbaines.

Avec Kadir Inanir, Hale Soygazi, Macit Koper, Meral Cetinkaya, Ece Örge, Dursun Ali Sarioglu, Tuncay Akça

Ne pouvant plus rien espérer de son mari au chômage, alcoolique et peu volontaire, Aygül décide de prendre son destin en main. L'émancipation de la jeune femme passe d'abord par l'emploi -elle réussit à se faire embaucher dans une usine-, puis par un nouvel amour, et enfin par le divorce ! Malgré le conformisme violent des voisins, elle se battra pour son indépendance...Volontiers critique à l'égard des valeurs établies par les bien-pensants, Atıf Yılmaz prend fait et cause, une nouvelle fois, pour le droit des femmes de disposer de leur vie et de leur corps, en maniant avec aisance humour et provocation.

Avec Romy Schneider, Bruno Cremer, Claude Brasseur, Roger Pigaut, Arlette Bonnard, Francine Bergé

Divorcée et mère d'un adolescent, Marie a décidé de ne pas garder l'enfant qu'elle attend de Serge, son amant, dont elle souhaite se détacher. Parallèlement à ses propres difficultés, on découvre les soucis et les drames de ses amis. Une histoire simple est le portrait d’une femme libre et moderne, incarnée par l’actrice fétiche de Claude Sautet, lumineuse, sensible et d’une grande justesse.Copie restaurée

Avec Smadar Sayar, Naama Schendar, Irit Suki

Tout oppose Smadar et Mirit. L'une est rebelle et expansive, l'autre est introvertie. Les deux jeunes filles se retrouvent pourtant obligées de se supporter pendant leur service militaire en Israël où elles sont chargées de contrôler les Palestiniens.

“Un grand siècle, celui qui se termine. Une grande ville, Prague. Une petite maison, celle où je suis né. La maison a traversé le siècle, avec ses problèmes de maison : fuites et fissures, transformation des espaces, menaces de démolition. Et le siècle a traversé la maison. Comme un fil, qui a mené ses habitants du mouvement anarchiste au communisme, puis au stalinisme, puis au socialisme à visage humain, puis au socialisme réel, puis au réel tout court. Aujourd'hui, j'éprouve le besoin de revenir à cette maison et à ses histoires... Ma maison est mon repère, mon poste d'observation et mon instrument de mesure.” Stan Neumann

Avec Carolina Sanín, Leticia Gómez, Antonio Martínez, Vladimir Durán, Alejandra Sarria

À Bogota, Silvia, mère célibataire et avocate, est mise en cause dans un scandale de corruption. À ses difficultés professionnelles s'ajoute une angoisse plus profonde. Leticia, sa mère, est gravement malade. Tandis qu'elle doit se confronter à son inéluctable disparition, Sylvia se lance dans une histoire d'amour, la première depuis des années.

Film d'ouverture de la Semaine de la Critique du Festival de Cannes (2019)

Avec Nouraddin Orahhou, Lubna Azabal, Hicham Moussoune

Kamel Raoui, un jeune inspecteur de police, est chargé d'enquêter sur la mort d'Hakim Tahiri, un important trafiquant de drogue, assassiné dans sa villa tangéroise. La première suspecte est son employée et maîtresse : Touria, une jeune femme qui vit sur les lieux du crime avec son petit frère, Pipo. Alors que Touria est placée en garde à vue, Kamel recueille chez lui Pipo avec qui se tisse une complicité très forte.
Réalisé dans le cadre d'une collection, produite par Arte sur le thème des rapports entre hommes et femmes, Une minute de soleil en moins, explore avec tact la part de féminité des hommes.



Dimanche 12 février 2017
16h00. La Maison des Associations (MDA), entrée libre

Master Class /Le cinéma-miroir de Nabil Ayouch, réalisateur et producteur aux films aussi engagés que personnels
Animée par les rédacteurs de la revue Répliques (http://www.repliques.net/)

Protéiforme, l'½uvre de Nabil Ayouch invitera, lors de cette rencontre, à des explorations de natures très diverses, allant du cinéma à la photographie en passant par l'Internet, sans compter les grands sujets de société qui lui tiennent à c½ur tels que les inégalités sociales, la religion, les différences culturelles, ou encore le conflit israélo-palestinien. Mais si le réalisateur d'Ali Zaoua, prince de la rue (2000), de My Land (2011), des Chevaux de Dieu (2012) ou encore de Much Loved (2015) figure sans doute parmi les plus influents du Maroc, son implication dans le cinéma national ne se cantonne pas à la réalisation, Ayouch étant également le producteur de beaucoup d'autres ½uvres audiovisuelles réalisées par de jeunes Marocains qu'il découvre et encadre via sa société Ali n' Productions, ainsi que le responsable d'un certain nombre de projets contribuant au développement d'une cinématographie à l'ossature encore fragile, mais toujours riche de belles initiatives.

Avec Cecilia Cheung, Daniel Wu

Le jour de Noël, une altercation éclate entre jeunes et tourne au drame. Quelques heures plus tard, l'un d'eux est trouvé mort. Le défunt est le fils de Tim, l'un des plus puissants criminels de Hong-Kong. Ce qui semblait au début comme un fait divers prend des allures de crise sans précédent dans le monde du crime.

Hiver. Le feu quitte le foyer. Le garçon, équipé d'une lanterne, part à la recherche d'une petite lumière.

À Rio de Janeiro, une certaine élite peut s'offrir le luxe d'habiter dans des « coberturas », ou « penthouses », ces grands appartements situés au dernier étage de hautes tours, avec jardin et piscine. Surplombant la ville, la mer et toute la société, elle ne voit plus le monde que de loin ou de haut, à plusieurs dizaines de mètres au-dessus du sol. Le film monte à la rencontre de neuf de ces foyers. Femmes et hommes, en couple, seul ou en famille, c'est un véritable échantillon d'une ancienne et nouvelle bourgeoisie brésilienne qui se dessine ici.
Gabriel Mascaro, dont c'est le second film (Travelling présente aussi cette semaine son dernier opus Domestica) nous révèle comment le sujet a imposé une écriture filmique précise :
« Au Brésil il existe un motif singulier de l'architecture, certains spécialistes l'appellent l'architecture de la peur ou l'architecture de l'horreur, car cette architecture représente bien l'horreur de la société brésilienne. Les coberturas sont des lieux ou les riches aiment vivre car c'est un symbole de leur statut, de leur pouvoir. Il m'a été très difficile d'avoir accès à ces habitants. Avec les gens riches, vous n'avez pas le temps pour faire des interviews. J'avais seulement une heure ou deux. Et j'étais aussi contraint par tout ce que je n'avais pas le droit de filmer. Je ne pouvais pas bouger, la caméra était vissée sur son pied et ce cadre fixe durant les interviews est devenu une sorte d'affirmation politique : je ne pouvais travailler qu'avec la parole, seulement avec ce qu'ils allaient me dire.
Je trouve très intéressant dans le film le contraste entre les images d'interviews et les images d'extérieurs que j'ai réalisées pour exposer les sensations personnelles que j'éprouve vis à vis de cette classe, de ces gens, de cette manière de penser à propos de ce sujet. Mon seul espace de subjectivité est donné par ces images, par le son, par le contraste créé avec l'interview.
Ce film est important pour le cinéma brésilien afin de commencer une nouvelle époque qui va permettre de réfléchir à la manière de penser des gens riches et des personnes de classe moyenne. On découvre une nouvelle manière d'appréhender les inégalités du Brésil, la violence, l'insécurité, dès lors que vous comprenez ce que les riches pensent de ce pays. »

Avec Alexander Hackenschmied

Un jeune homme se promène dans la ville, du centre à la périphérie... Personnalité hors pair, nomade et indépendant, Hackenschmied marque dès ses débuts le cinéma tchèque par un rare exemple de documentaire transformé en libre dérive urbaine. Sa Promenade sans but était une référence importante pour les surréalistes pragois d'après-guerre.

Autour d'un guéridon une vieille femme et sa petite fille regardent de vieilles photos de famille tout en buvant une tasse de café turc. Malgré une première hésitation, devant ces traces du passé, la grand-mère finit par répondre à l'insistance de sa petite fille et plonge dans ses souvenirs. Les vieilleries se transforment alors en sentiments. Le passé resurgit, et envahit le présent?
Production JPL Films.

La double vie d’un chat pas comme les autres. Le jour, il est le fidèle compagnon de Zoé, la fille de la commissaire de police, mais la nuit il devient le complice du voleur Nico qui évolue sur les toits de paris. Tout bascule lorsque Victor Costa, truand notoire, kidnappe la fillette… Un polar d’animation original, palpitant et à l’univers graphique inventif et réjouissant.

Avec Juliet Berto, Jacques Weber, Hala Bassam

Samar est une jeune fille de la guerre. Nomade forcée, elle a grandi parmi les combattants, avec lesquels elle apprend à vivre dans un pays en guerre. Le défi qu'elle lance constamment à la vie contraste avec son goût pour les comédies d'amour égyptienne, jusqu'au jour où sa rencontre avec Karim nouera ces deux parties de sa personnalité, avec la naissance d'un sentiment amoureux au coeur de la guerre. Avec une élégance formelle et poétique, J. Saab filme la rencontre de 2 rescapés rendue possible par la guerre.

Avec Kim Saeron, Park Doyeon, Ko Asung, Sol Kyunggu, Park Myungshin, Oh Mansuk, Moon Seongkeun, Baik Hyunjoo, Jeong Yejin

Séoul, 1975. Jinhee a 9 ans. Son père la place dans un orphelinat tenu par des soeurs catholiques. Commencent alors l’épreuve de la séparation et la longue attente d’une nouvelle famille. Au fil des saisons, les départs des enfants adoptés laissent entrevoir une part du rêve, mais brisent aussi les amitiés à peine nées. Jinhee résiste, car elle sait que la promesse d’une vie toute neuve la séparera à jamais de ceux qu’elle aime. Un premier long métrage très personnel qui dessine le quotidien d’une communauté d’enfants perdus dans la Corée du Sud en 1975.

Avec GUA Ah-Lei, Emily Y. CHANG, LUNG Chung-Erh

Hsiao-Peng, abandonnée par son amant, est envoyée à une maternité pour jeunes mères célibataires. Elle y apprend lentement à dépasser sa dépression en construisant des liens forts avec d’autres femmes. Un conte anticonformiste sur le passage à l’âge adulte, qui confronte les codes sociaux aux mutations politiques de la société taïwanaise.

Avec Aksel Hennie, Nicolai Cleve Brich, Bjørn Floberg, Espen Juul Kristiansen, Ahmed Zeyan, Martin Skaug

David, 25 ans, habite un quartier difficile d'Oslo. Il fuit son présent comme son avenir et passe son temps entre une salle de gym et des petits trafics. Mais sa petite vie bien réglée vole en éclats lorsque son père meurt et que la police l'interroge sur la provenance d'anabolisants trouvés dans les vestiaires de la salle de sport.

Avec YU Pei-Jen, LIEN Yu-Han, HSU Li-Wen

En 1953, sous la loi martiale, Chen, une étudiante dissidente est envoyée en rééducation sur l’île de Ludao, colonie pénitentiaire de Taïwan. Quand les autorités décident de durcir leurs méthodes, elle résiste et s’allie avec d’autres détenues. Un hommage émouvant qui rend justice aux femmes combattantes pour la liberté d’opinion, victimes méconnues de la Terreur blanche qui a sévi pendant près de 40 ans.
Thématique " La terreur blanche à Taïwan " - voir aussi The Man Who Couldn't Leave de Singing CHEN et Super Citizen Ko de WAN Jen.