un bidonville dans la banlieue de Buenos Aires. Pour leurs besoins d'authenticité, cinéastes et publicitaires y font leur marché d'images et visages "trash". Et les habitants de jouer "les pauvres", ... leur propre réalité. L'un d'eux ouvre une agence de casting et propose aux producteurs des "gueules" plus vraies que nature, figures "ready-made" de braqueurs, drogués, taulards... Il devient le lien entre la "faune" de la Villa et le monde du show-biz "extraterrestre".
Critique : Le film de Federico León et Marcos Martinez explore ce cuisant paradoxe : les relations entre l'art et le bidonville, la (re)présentation de la pauvreté, la mode du marginal et le "self-management" comme méthode de création et de survie. Collision entre réel et fiction. Tresplanos cine