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          • Triptyque Parajanov

          • Parajanov Triptych

          • De Sergei Parajanov

          • Type : Programme de courts métrages
          • URSS / 1966>1985 / 0:46 / Couleur / vostf
          • Genre : Fiction
          • Technique : Prise de vue réelle
          • Evénement : Travelling 2022
          • Le réalisateur et artiste arménien a développé une œuvre prolifique et transdisciplinaire à la croisée de l’art conceptuel et du folklore. Aux côtés du chef d’œuvre Sayat Nova, ce programme, visuellement dynamique, rassemble trois films remarquables et nouvellement restaurés !

            Hakob Hovantanyan, 1967, 10'
            Explorant l’art du portraitiste arménien Hakob Hovnatanyan, Parajanov, avec un montage original, ludique et une utilisation virtuose du son, voire même du silence, ravive la culture de Tbilissi du XIXe siècle.

            Kiev Frescoes, 1966, 15'
            Ce qui était supposé être un film sur les conséquences de la Seconde Guerre mondiale à Kiev, a pris la forme d’un collage, basé sur des images restantes via un bricolage d'essais de caméra, les négatifs ayant été détruits par les autorités.
            Ces essais se changent en une œuvre qui sert à la fois de document historique et de déclaration d’intention artistique, avec un tournant stylistique radical où le naturalisme est rejeté et l'artifice adopté.

            Arabesques on the Pirosmani Theme, 1985, 21'
            Ce documentaire s’intéresse à la talentueuse artiste géorgienne Niko Pirosmani. En filmant les détails et thèmes de ses peintures colorées, Parajanov crée un portrait engagé et mystérieux de la Géorgie elle-même.
            Cette dernière œuvre est souvent vue comme la pièce d’accompagnement de Hakob Hovnatanyan, puisqu’il prend aussi comme sujet un peintre célèbre.

            En partenariat avec Ciné-Tambour, Université Rennes 2
            Les sens 1 : on ne touche qu’avec les yeux
            Pour cette nouvelle année, le Tambour vous invite à explorer l’empire des sens, en débutant par le toucher auquel il vous sera difficile de ne pas recourir face au triptyque de Sergueï Paradjanov consacré à la peinture, puis à l’érotisme froid de Crash, quatorzième long-métrage du Canadien David Cronenberg. Tantôt créateur d’un monde qui se construit par les expérimentations picturales des personnages, tantôt vecteur de pulsions scopiques déréglées chez des êtres névrotiques fascinés par le métal froissé et les corps abîmés, ce fameux toucher a toutefois un but commun chez les deux cinéastes. Celui de servir de lien haptique entre les hommes et des décors en proie au chaos dans lesquels ils semblent étrangement trouver leur confort. Sur l’écran du Tambour, la sollicitation du cinquième sens traduit une attirance autant qu’elle dérange.

            Suivi de Crash de David Cronenberg, Royaume-Uni/Canada, 1996, 1h40 - Tambour
          • Critique : A partir des négatifs originaux en résolution 4K sous la supervision de Lukasz Ceranka (Varsovie). Ce projet n'aurait pas été possible sans la coopération et le soutien du Centre national du cinéma arménien (Erevan), du Centre Dovzhenko (Kiev), de Georgian Film (Tbilissi), de Gosfilmofond de Russie (Belye Stolby), du CPC Londres, de Kino Klassika (Londres), de l'AGBU (New York).
          • kiev-frescoes1.jpg

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