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Titre
Réalisateurs
Pays
          • La Ronde

          • De Max Ophuls

          • Type : Long métrage
          • France / 1950 / 1:33:00 / N & B + Copie restaurée / Audio-description + SME
          • Genre : Fiction
          • Avec Anton Walbrook, Simone Signoret, Serge Reggiani, Daniel Gélin, Danielle Darrieux, Jean-Louis Barrault, Gérard Philipe
          • Décor : Jean d'Eaubonne
          • Montage : Léonide Azar
          • Musique : Oscar Strauss
          • Scénariste : Arthur Schnitzler, Jacques Natanson, Max Ophüls
          • Son : Pierre-Louis Calvet
          • Technique : Prise de vue réelle
          • Images : Christian Matras
          • Source : Carlotta Films
          • Tous publics
          • Sous l'impulsion d'un meneur de jeu, une "ronde des couples" commence, vive, légère, sensuelle. Sans distinction de classe, l'amour passe ainsi de la belle prostituée Léocadie au soldat Franz, du soldat à la femme de chambre Marie, de la femme de chambre au fils de famille Alfred. Ce dernier se met alors à séduire une dame mariée, Emma Breitkopf, puis la ronde reprend de plus belle, passant de la dame mariée à son époux, Charles, du mari à la grisette Anna, qui tend la main au poète Robert Kühlenkampf, qui l'abandonne pour la comédienne Charlotte, qui ne résiste pas au comte, qui s'encanaille avec la prostituée et ferme le cercle sentimental...De la pièce d'Arthur Schnitzler, et avec des mouvements de caméra étincelants, Ophuls déploie un chef-d’œuvre grave et léger, éternel, sur la lutte contre le temps qui passe.Copie restaurée
          • Critique : Max Ophüls fait une réflexion mélancolique sur la vacuité du sentiment amoureux, face au sexe. Tous les héros semblent, dans leur course effrénée vers le plaisir, lutter contre le temps. « Quelle heure est-il ? », demande sans cesse la femme mariée à son amant, sans même écouter une réponse dont elle n’a que faire... Les mouvements de caméra, splendides, dissimulent mal un désespoir secret, et les comédiens sont tous magnifiques. Notamment Daniel Gélin et Danielle Darrieux qui, avec Stendhal pour prétexte, badinent avec brio sur l’impuissance masculine.Pierre Murat, Télérama, 2011
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