Un chantier devient le théâtre de l'histoire d'une maison a Jérusalem : abandonnée par son propriétaire en 1948, réquisitionnée par le gouvernement israélien, louée a des juifs d'Algérie, puis vendue à un professeur d'université qui entreprend de la rénover. Chaque récit des personnages correspond à une nouvelle étape de construction de la maison, qui devient la métaphore de la construction de l'identité israélienne et de ses contradictions.
Critique : " ... Il arrive l'une des plus belles choses qu'une caméra puisse enregistrer en direct : des gens qui regardent la même chose et qui voient des choses différentes. Et que cette vision émeut... " Serge Daney - Libération du 01/03/1982