Tandis que la ville de Buenos Aires subit les conséquences de l'effondrement de la fin 2001, le tango connaît un retour en force, un refus de la mort face à l'appauvrissement du pays. A la Confitería Ideal règnent une atmosphère d'éternelle romance, la présence immatérielle des orchestres des années 20, les mélodies des orchestres de tango des 40 et 50 et les rêves des poètes qui réinventèrent le monde à ses tables.
Critique : La réalité socio-économique de l'Argentine actuelle se trouve dans les pas de chaque danseur, dans le son du bandonéon, qui font que les « milongueros » restent indestructibles dans leurs nostalgies et vagabondages.