A Osaka, une jeune femme, qui vient de perdre son mari à la guerre et son fils, atteint de tuberculose, n'a plus que la solution de se prostituer, pour survivre.... Kenji Mizoguchi, cinéaste résolumment féministe, nous brosse ici une peinture sans concessions du milieu de la prostitution nippone, à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Un film très longtemps inédit en France.
Critique : De Mizoguchi, grand parmi les grands... Les Femmes de la nuit aurait pu être baptisé Femmes dans la nuit, nuit de l'homme qui les prostitue mais qui reste le plus grand dépendant des prostituées. Aucune issue possible à ces damnées du trottoir. Philippe Azoury - Libération