Avec Connie Nielsen, Charles Berling, Chloe Sevigny, Gina Gershon
Décor : Francois-Renaud Labarthe
Montage : Luc Barnier
Musique : Sonic Youth
Scénariste : Olivier Assayas
Son : Philippe Richard
Technique : prise de vue réelle
Images : Denis Lenoir
Source : SND
Diane De Monx travaille pour une puissante multinationale qui a racheté TokyoAnime, société japonaise produisant des mangas pornographiques en 3D. Deux firmes, Mangatronics et Demonlover, s'affrontent pour avoir l'exclusivité de ces nouvelles images, fort lucratives, sur Internet.
Critique : Les fausses pistes et les faux-semblants engendrent un décor hallucinatoire, où réel et virtuel se bousculent sans le moindre intermédiaire. Après une heure d'exposition et de chassés-croisés, Demonlover va jusqu'au bout de son exploration sensorielle et de ses excès. L'audace formelle et les étonnantes recherches plastiques font que le film fascine au-delà du simple discours didactique (...) Danielle Chou - filmdeculte.com