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          • Le Troisième homme

          • The Third Man

          • De Carol Reed

          • Type : Long métrage
          • Royaume-Uni / 1949 / 1:44 / N & B / vostf
          • Genre : Fiction
          • Avec Joseph Cotten, Alida Valli, Orson Welles, Trevor Howard, Bernard Lee, Paul Hörbiger, Ernst Deutsch
          • Décor : Dario Simoni
          • Montage : Oswald Hafenrichter
          • Musique : Anton Karas
          • Scénariste : Graham Greene, Orson Welles, Carol Reed, Alexander Korda
          • Son : John Cox, Jack Drake
          • Technique : Prise de vue réelle
          • Images : Robert Krasker
          • Source : Tamasa Distribution
          • Tous publicsCopie restaurée
          • Holly Martins, un minable écrivain américain, est venu retrouver son ami Harry Lime dans la Vienne dévastée de l'après-guerre. Mais celui-ci est retrouvé mort après avoir été écrasé par une voiture. Martins choisit alors de mener sa propre enquête pour démasquer les assassins de son ami. Rien ne l'a préparé à ce qu'il va découvrir…La musique obsédante d’Anton Karas, l’interprétation de Orson Welles et l’utilisation expressionniste du décor de Vienne contribuent à transformer ce film noir, cette tragédie politique en un grand moment de cinéma. Copie restauréeGrand Prix Festival de Cannes 1949Oscar de la meilleur photographie 1951
          • Critique : Un écrivain vaguement alcoolique arrive tout fringant, dans la Vienne de 1948, appâté par un boulot promis par Harry Lime, ami de toujours. Or il débarque le jour même où ce pote est enterré... »Ce point de départ mystérieux (Harry est-il vraiment mort?) sert de prétexte à Carol Reed et à son illustre scénariste, le romancier Graham Greene, pour peindre, après Auschwitz et Hiroshima, un monde où tout est inversé. Le paradis gît désormais dans les abysses, et c'est l'enfer qui trône au ciel. Les cadrages, presque toujours penchés, la photo fantomatique et la musique, obsédante et ironique, accentuent l'épouvante de ce monde nouveau, où les morts, comme Harry Lime, font semblant de l'être, mais le sont plus qu'ils ne le croient, puisque ne subsiste plus en eux la moindre parcelle d'humanité.Pierre Murat, Télérama, 2017
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