Tony est le roi du "2001", la discothèque où il se retrouve avec toute sa bande. Une fois par semaine, après six jours de travail dans un magasin de peinture à Brooklyn, Tony s'asperge d'eau de toilette, enfile une chemise, un pantalon à pattes d'éléphant et des chaussures de danse, et se prépare, toujours en suivant le même rituel, à la Fièvre du Samedi Soir.sandy Seneschal
Critique : Il suffit de voir Travolta-Manero, petit marlou de Brooklyn, s'entraîner avec une sorte de rage sensuelle et dérisoire, pour capter la différence avec l'ordinaire surboom sur pellicule. Ici, on danse avec acharnement, la chair est grave, endurante, la fête plus âpre que joyeuse. Cécile Mury - Télérama