Le parcours initiatique de Victor, 18 ans, qui a l'aube de l'an 2000, vit son premier amour, voit son premier mort et découvre le monde de la rue.
Critique : Pas de frénésie de mouvement, pas d'effets de couleur. Juste une nuit interminable qui génère à l'écran une espèce de brouillard digital au travers duquel on devine, puis on découvre, un monde réel qui s'incruste dans notre imagination au fil de l'histoire. Thomas Sotinel –Le Monde