Un groupe de six amis tente de rejoindre la région d’Osterdalen, dans l’Est de la Norvège, pour retrouver Bjorn, le frère de Liljan. Retranché dans son chalet isolé, il semble cependant avoir disparu. À leur arrivée, une présence se fait sentir. D’aucuns mentionnent alors la légende de Tore Bråvik, un homme jaloux de sa sœur. Avec un léger penchant incestueux, il la tue elle et son fiancé à coups de hache et jette les corps dans le Lac Bleu, à proximité du chalet. La légende indique qu’il hante le lac après s’y être suicidé et y entraîne quiconque s’en approche… (Morbius.unblog)
Critique : Tommy Wirkola, le réalisateur norvégien du désormais culte Dead Snow (2009, Død snø), n’a pas puisé l’intrigue de son film ailleurs que dans la cinéphilie de son terroir, tant elle démarre de la même manière que dans Le Lac de la mort (1958, De dødes tjern), un classique des 50's de Norvège. Évidemment, la comparaison entre ces deux films s’arrête là. Produit par la Norsk Film, Le Lac de la mort est un beau film d’horreur et de malédiction en cinémascope et en noir et blanc réalisé par de Kåre Bergstrøm, qui tournera six ans après celui-ci un autre classique du cinéma norvégien avec Les Horlogers du clair de lune (1964, Klokker i måneskinn), écrit par le même André Bjerke, écrivant sous le pseudonyme de Bernhard Borge. (Morbius.unblog)